Glamscrolling, doomscrolling, sadscrolling… : quand le scrolling devient un piège mental
Quel parent n’est pas agacé de voir son ado passer des heures sur son téléphone à faire défiler ce que l’algorithme d’Instagram, de TikTok ou autres a choisi de lui montrer ? Qui d’entre nous ne passe pas du temps sur les réels, les infos, les vidéos drôles ou autres ? Le scrolling fait partie des gestes les plus banals de notre quotidien numérique. On scrolle sur son téléphone, sans y penser, pour passer le temps, se détendre, attendre. Mais, ce défilement apparemment inoffensif finit, pour certains, par avoir des effets psychiques lourds. Quatre dérives principales ont été identifiées : le doomscrolling, le sadscrolling, le glamscrolling et le morbid scrolling.…